Le Centre d’imagerie médicale du Galilée à Torcy…

Publié le : 02 octobre 20174 mins de lecture

Mettent en œuvre la solution PACS SYNAPSE de FUJIFILM sur une infrastructure IBM.

L ’enjeu

Pour les centres de radiologie : Rationaliser l’exercice de la radiologie dans un contexte multi-site,mutualiser les compétences et faire des économies de films significatives.

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La solution

Mise en œuvre de SYNAPSE, le système PACS de FUJIFILM,sur des serveurs IBM ^ xSeries.Stockage avec le système IBM TotalStorage DS400.

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Le bénéfice

Un budget films réduit de 50 % en 2006, un meilleur service médical.Une approche plus méthodique des soins., création d ’un réseau de 450 médecins correspondants.

Aperçu

Le Docteur René Bokobza , Co-gérant du Centre d’imagerie médicale du Galilée à Torcy et ses collègues cherchaient à rationaliser l’exercice de la radiologie sur leurs trois centres situés en Seine-et-Marne et réunis en SEL (Société d ’exercice libéral.Au-delà,ils voulaient aussi créer un réseau solide de médecins correspondants et associer leurs deux autres cabinets.

Leur idée

Exploiter les avantages procurés par l’imagerie numérique et par les technologies Web. La solution utilise le système de communication et d’archivage d’images SYNAPSE de FUJIFILM, mis en œuvre au cours de l ’été 2005 sur des IBM ^xSeries connectés à l ’unité de stockage IBM TotalStorage DS400.

En se regroupant, les centres de radiologie font jouer des synergies pour optimiser la prise en charge des patients et la rentabilité des investissements. Partant de ce principe, l’objectif du Docteur Bokobza, initiateur du projet était de « créer une cohérence dans la production d’imagerie entre sites distants.» C’était d’autant plus important que le plateau technique est partagé, chaque centre possédant une spécialité : l’IRM (Imagerie par Résonance Magnétique)est installé à l ’hôpital de Lagny,le scanner à la clinique et la mammographie numérique au Centre du Galilée. Environ 300 examens y sont réalisés par jour. Une meilleure gestion des examens radiologiques était nécessaire,autant pour des raisons médicales qu’économiques. « Cette dispersion sur le terrain posait,par ailleurs,la question des compétences », ajoute-t-il.« Nous voulions pouvoir compter les uns sur les autres pour améliorer les diagnostics, surtout en cas d’urgence ». Décloisonner les modes de fonctionnement permet en effet de mieux partager l’information. Cette solution permet aux dix radiologues concernés de visualiser les images où qu’ils se trouvent, localement ou à distance. Dans tous les cas, un simple navigateur Web suffit. « C ’est un progrès considérable qui commence à profiter aussi aux médecins de ville », constate le Docteur Bokobza. « Moyennant une autorisation d’accès,ils peuvent consulter les dossiers de leurs patients à partir de leur propre micro-ordinateur.» Quelle que soit la localisation de l’utilisateur, les données sont archivées sur la baie DS400 et accessibles à la demande. La sécurité est totale et la confidentialité assurée par des outils d’identification et d’authentification Demain, il lui sera facile de l’intégrer au dossier médical personnel (DMP) et d ’envisager de nouvelles pratiques liées à la télé-radiologie.

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